Les États-Unis n'exigeraient plus que les voyageurs aériens internationaux soient testés pour le COVID-19 avant de se rendre aux États-Unis.Le changement entrera en vigueur le dimanche matin 12 juin et les CENTRES de contrôle et de prévention des maladies (CDC) réévalueront la décision après trois mois, a rapporté Reuters.Cela signifie que les personnes qui voyagent aux États-Unis n'auront pas à se soucier de se faire tester pour le COVID-19 avant de voler, au moins jusqu'à la fin de la saison estivale des voyages.

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Avant le changement signalé, les passagers vaccinés et non vaccinés devaient être testés la veille de leur entrée aux États-Unis, selon la page des exigences de voyage du CDC.La seule exception concerne les enfants de moins de deux ans, qui ne sont pas tenus de subir un test.

Initialement préoccupés par la propagation de la variante Alpha (et plus tard des variantes Delta et Omicron), les États-Unis ont imposé cette exigence en janvier 2021. Il s'agit de la dernière exigence de sécurité aérienne à être abandonnée ;La plupart des compagnies aériennes ont cessé d'exiger des masques en avril après qu'un juge fédéral a annulé leur exigence dans les transports publics.

Selon Reuters, un dirigeant d'une compagnie aérienne américaine a attaqué l'exigence américaine, tandis que le directeur général de Delta, Ed Bastian, a défendu le changement de politique, affirmant que la plupart des pays n'exigent pas de tests.Le Royaume-Uni, par exemple, affirme que les voyageurs n'ont pas à passer "de tests COVID-19" à leur arrivée.Des pays comme le Mexique, la Norvège et la Suisse ont introduit des politiques similaires.

D'autres pays, comme le Canada et l'Espagne, sont plus stricts : les voyageurs vaccinés ne sont pas tenus de soumettre un test, mais un résultat de test négatif est requis si le voyageur ne peut produire une preuve de vaccination.Les exigences du Japon sont basées sur le pays d'origine du voyageur, tandis que l'Australie exige la vaccination mais pas les tests avant le voyage.